La semaine dernière, la municipalité de L’Aigle (Orne) a célébré les trois projets de la deuxième édition du budget participatif. Ces projets comprenaient des initiatives pour la sécurité des enfants qui apprennent à faire du vélo, la réparation des vélos pour les cyclistes avant de partir sur la voie verte, et une boîte à dons pour les habitants afin de déposer et récupérer des vêtements ou des objets au premier étage des Tanneurs, près de l’entrée de la MJC.
Cependant, lors de l’inauguration, les élus ont eu une surprise inattendue : des sous-vêtements, y compris des culottes et même un soutien-gorge, ont été découverts parmi les dons. Cette découverte a apporté un sourire à tous les participants, bien que le dépôt de sous-vêtements ne soit pas autorisé en raison de mesures d’hygiène. Il est clair que les sous-vêtements, tout comme une brosse à dents, ne sont pas destinés à avoir une deuxième vie, que ce soit des culottes ou des soutiens-gorge.
Il est possible que certains donneurs aient pensé bien faire en donnant des sous-vêtements, mais il est important de rappeler que ces articles ne sont pas destinés à être donnés après utilisation, comme le stipulent les magasins avec la mention « ni repris, ni échangé » pour ces produits.
Il semble que les organisateurs du projet seront désormais très vigilants quant aux dons reçus, et il est probable qu’ils mettront en place des mesures pour identifier et sensibiliser les donneurs à ne pas inclure de sous-vêtements dans leurs dons à l’avenir.
Cette petite mésaventure lors de l’inauguration souligne l’importance de respecter les règles établies pour les dons et de sensibiliser le public aux bonnes pratiques en matière de dons d’objets. La solidarité et la générosité sont au cœur de ce projet, et il est essentiel de s’assurer que les dons reçus sont appropriés et utiles pour ceux qui en ont besoin. Suivez l’actualité locale et restez informé des événements de votre région en vous inscrivant à Mon Actu pour ne manquer aucune information importante.