Le nouveau gouvernement est imminent
Après un « échange constructif » entre Emmanuel Macron et Michel Barnier, la composition du nouveau gouvernement doit être présentée « avant dimanche », a assuré Matignon, jeudi soir. Et les services du Premier ministre de garantir un « gouvernement qui respecte les équilibres ».
Qui pour composer ce gouvernement ?
Le gouvernement de Michel Barnier devrait être composé de 38 ministres, autant d’hommes que de femmes. 16 ministres devraient l’être de plein exercice, parmi lesquels sept macronistes, trois issus des Républicains (LR), deux MoDem, un Horizons, le parti d’Edouard Philippe, ou encore un du parti centriste UDI. Voici la liste présentée par Michel Barnier à Emmanuel Macron.
Dans les coulisses de la composition du gouvernement de Barnier
Après plusieurs heures de tension, Michel Barnier semble sur le point d’avoir réussi à former une équipe gouvernementale. Récit.
La gouvernance Barnier prend forme
En recevant jeudi après-midi les représentants des forces politiques qui intégreront son gouvernement, le Premier ministre a dévoilé les grandes lignes de sa politique. Selon un communiqué de ses services, il a affirmé qu’il souhaite notamment « améliorer le niveau de vie des Français et le fonctionnement des services publics, particulièrement l’école et la santé, garantir la sécurité, maîtriser l’immigration et faire progresser l’intégration ». Mais aussi « encourager (les) entreprises et (les) agriculteurs et conforter l’attractivité économique de la France, maîtriser (les) finances publiques et réduire la dette écologique ».
Le gouvernement proposé par Michel Barnier
C’est avec un « gouvernement » qui sera « prêt à agir au service des Français » que Michel Barnier s’est rendu à l’Élysée ce jeudi soir, pour le proposer à Emmanuel Macron. Le Parisien dévoile les principaux noms.
« Colère folle » : la gauche vent debout après l’esquisse du nouveau gouvernement
La gauche fulmine après la révélation de nombreux noms pressentis pour intégrer le nouveau gouvernement. « Emmanuel Macron et les 40 voleurs d’élection », ironise sur X le coordinateur des Insoumis Manuel Bompard. Dans un autre message, il a aussi partagé une capture d’écran d’un article du Huffington Post au sujet du LR Bruno Retailleau, « accusé de racisme après avoir pointé une régression vers les origines ethniques en banlieues ». Le député s’interroge : « futur ministre de l’Intérieur ? ».
L’eurodéputée Manon Aubry, tête de liste de LFI aux européennes, s’en prend quant à elle en particulier à la sénatrice LR Laurence Garnier, pressentie pour être ministre déléguée chargée de l’Enfance, de la Jeunesse et des Familles, qui fait polémique sur ses positions. « Contre le droit à l’IVG, Manif’ pour tous, contre les thérapies de conversion… (…) J’ai plus les mots. Juste une folle colère », écrit l’élue insoumise sur le réseau social.
« À la lecture des noms qui circulent, une seule remarque : mais qu’est ce que ce serait si la droite avait gagné les élections… », raille aussi le député socialiste Aurélien Rousseau, ex-ministre de la Santé d’Emmanuel Macron.
Dans les coulisses de la composition du gouvernement de Barnier
Après plusieurs heures de tension, Michel Barnier semble sur le point d’avoir réussi à former une équipe gouvernementale. Récit.
La gouvernance Barnier prend forme
En recevant jeudi après-midi les représentants des forces politiques qui intégreront son gouvernement, le Premier ministre a dévoilé les grandes lignes de sa politique. Selon un communiqué de ses services, il a affirmé qu’il souhaite notamment « améliorer le niveau de vie des Français et le fonctionnement des services publics, particulièrement l’école et la santé, garantir la sécurité, maîtriser l’immigration et faire progresser l’intégration ». Mais aussi « encourager (les) entreprises et (les) agriculteurs et conforter l’attractivité économique de la France, maîtriser (les) finances publiques et réduire la dette écologique ».
Le gouvernement proposé par Michel Barnier
C’est avec un « gouvernement » qui sera « prêt à agir au service des Français » que Michel Barnier s’est rendu à l’Élysée ce jeudi soir, pour le proposer à Emmanuel Macron. Le Parisien dévoile les principaux noms.
Le nouveau gouvernement est imminent
Après un « échange constructif » entre Emmanuel Macron et Michel Barnier, la composition du nouveau gouvernement doit être présentée « avant dimanche », a assuré Matignon, jeudi soir. Et les services du Premier ministre de garantir un « gouvernement qui respecte les équilibres ».
Qui pour composer ce gouvernement ?
Le gouvernement de Michel Barnier devrait être composé de 38 ministres, autant d’hommes que de femmes. 16 ministres devraient l’être de plein exercice, parmi lesquels sept macronistes, trois issus des Républicains (LR), deux MoDem, un Horizons, le parti d’Edouard Philippe, ou encore un du parti centriste UDI. Voici la liste présentée par Michel Barnier à Emmanuel Macron.
La gouvernance Barnier prend forme
En recevant jeudi après-midi les représentants des forces politiques qui intégreront son gouvernement, le Premier ministre a dévoilé les grandes lignes de sa politique. Selon un communiqué de ses services, il a affirmé qu’il souhaite notamment « améliorer le niveau de vie des Français et le fonctionnement des services publics, particulièrement l’école et la santé, garantir la sécurité, maîtriser l’immigration et faire progresser l’intégration ». Mais aussi « encourager (les) entreprises et (les) agriculteurs et conforter l’attractivité économique de la France, maîtriser (les) finances publiques et réduire la dette écologique ».
Le gouvernement proposé par Michel Barnier
C’est avec un « gouvernement » qui sera « prêt à agir au service des Français » que Michel Barnier s’est rendu à l’Élysée ce jeudi soir, pour le proposer à Emmanuel Macron. Le Parisien dévoile les principaux noms.
« Colère folle » : la gauche vent debout après l’esquisse du nouveau gouvernement
La gauche fulmine après la révélation de nombreux noms pressentis pour intégrer le nouveau gouvernement. « Emmanuel Macron et les 40 voleurs d’élection », ironise sur X le coordinateur des Insoumis Manuel Bompard. Dans un autre message, il a aussi partagé une capture d’écran d’un article du Huffington Post au sujet du LR Bruno Retailleau, « accusé de racisme après avoir pointé une régression vers les origines ethniques en banlieues ». Le député s’interroge : « futur ministre de l’Intérieur ? ».
L’eurodéputée Manon Aubry, tête de liste de LFI aux européennes, s’en prend quant à elle en particulier à la sénatrice LR Laurence Garnier, pressentie pour être ministre déléguée chargée de l’Enfance, de la Jeunesse et des Familles, qui fait polémique sur ses positions. « Contre le droit à l’IVG, Manif’ pour tous, contre les thérapies de conversion… (…) J’ai plus les mots. Juste une folle colère », écrit l’élue insoumise sur le réseau social.
« À la lecture des noms qui circulent, une seule remarque : mais qu’est ce que ce serait si la droite avait gagné les élections… », raille aussi le député socialiste Aurélien Rousseau, ex-ministre de la Santé d’Emmanuel Macron.