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Liban : Nouveau revirement de Benjamin Netanyahou sur le cessez-le-feu

Publié il y a 38 minutes, Mis à jour il y a 36 minutes

Jeudi, à son retour de New York (ici à l’ONU), Netanyahou était censé déclarer qu’il accueillait favorablement le projet de fin provisoire des hostilités. Mais « il a dit autre chose ». Eduardo Munoz / REUTERS

À Paris, on impute au premier ministre israélien l’échec de la proposition américano-française de cessez-le-feu temporaire de 21 jours entre l’État hébreu et le Hezbollah au Liban. « La démonstration est claire, Benjamin Netanyahou n’a pas tenu sa parole ». Dans les allées du pouvoir à Paris, on ne se privait pas vendredi avant les frappes massives d’Israël à Beyrouth d’imputer au Premier ministre israélien la responsabilité de l’échec de la proposition américano-française de cessez-le-feu temporaire de 21 jours entre l’État hébreu et le Hezbollah au Liban. « Il y avait bien un accord qui résultait de négociations que les Américains et nous avions menées avec les deux parties », Israël et le Liban, souligne un diplomate au fait du dossier. Côté libanais, en marge de l’assemblée générale des Nations unies, les Français avaient échangé mardi et mercredi à New York avec le Premier ministre Najib Mikati, présent à la grand-messe onusienne, et côté américain, avec le tandem de conseillers de Joe Biden, Amos Hochtein et Brett McGurk. Plus de 600 personnes tuées Mercredi, un communiqué commun Biden-Macron était venu couronner ces efforts pour un arrêt des bombardements…

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Le refus surprise de Netanyahou

Le revirement de Benjamin Netanyahou a pris de court de nombreux observateurs internationaux. Alors qu’il était attendu qu’il soutienne le projet de cessez-le-feu temporaire, le Premier ministre israélien a choisi une autre voie, suscitant des critiques et des interrogations. Cette décision a jeté un voile de perplexité sur les négociations en cours et a renforcé les tensions dans la région.

Les répercussions diplomatiques

L’échec de la proposition de cessez-le-feu temporaire entre Israël et le Hezbollah au Liban a des répercussions diplomatiques majeures. Les relations entre les différentes parties impliquées dans le conflit se trouvent fragilisées, et la recherche d’une solution pacifique semble plus compliquée que jamais. Les accusations de non-respect des accords et de manque de transparence ont été lancées de part et d’autre, alimentant un climat de méfiance et d’incertitude.

La situation humanitaire au Liban

Au-delà des considérations politiques et diplomatiques, il est essentiel de se pencher sur la situation humanitaire au Liban. Les frappes massives d’Israël à Beyrouth ont causé la mort de nombreuses personnes et des destructions considérables. La population civile est la première victime de ce conflit qui s’éternise, et il est urgent de trouver une solution pour mettre fin aux souffrances des civils pris au piège de la violence.

En conclusion, le refus inattendu de Benjamin Netanyahou de soutenir le cessez-le-feu temporaire entre Israël et le Hezbollah au Liban a semé le trouble et a compliqué davantage la recherche d’une issue pacifique au conflit. Les tensions restent vives et la situation humanitaire demeure critique. Il est impératif que les différentes parties impliquées dans le conflit œuvrent ensemble pour trouver une solution viable et durable qui garantisse la paix et la sécurité pour tous.