Hier, le président américain Joe Biden s’est exprimé sur les tensions croissantes au Moyen-Orient, affirmant qu’il ferait tout son possible pour éviter une escalade du conflit. Depuis la Maison Blanche, il a souligné l’importance de prévenir une guerre plus large et a assuré que les efforts diplomatiques se poursuivraient.
Parallèlement, Israël et le Hezbollah sont engagés dans une escalade dangereuse qui risque de dégénérer en un conflit dévastateur. Le Hezbollah a récemment tiré environ 150 roquettes vers le nord d’Israël, marquant une escalade significative dans les hostilités. Cette attaque a visé des localités éloignées de la frontière, signalant une intensification des affrontements.
La riposte du Hezbollah survient après une série de frappes israéliennes qui ont ciblé des chefs militaires du mouvement au Liban. Ces attaques ont été qualifiées de « déclaration de guerre » par le leader du Hezbollah, Hassan Nasrallah. La situation reste tendue, avec des attaques sporadiques se poursuivant de part et d’autre.
L’Égypte exprime de vives inquiétudes quant à une possible guerre totale au Moyen-Orient, en raison de l’escalade des violences entre le Hezbollah et Israël. Le ministre égyptien des Affaires étrangères a souligné les effets négatifs de ce conflit sur les négociations en cours pour un cessez-le-feu entre Israël et le Hamas à Gaza.
Le chef d’état-major de l’armée israélienne a averti que le pays était prêt à « atteindre quiconque » menaçait ses citoyens, soulignant que les opérations contre le Hezbollah étaient un message clair aux ennemis d’Israël. Cette déclaration intervient dans un contexte de tensions croissantes entre les deux parties.
Le secrétaire général de l’ONU a exprimé sa préoccupation quant à la possibilité que le Liban devienne « un autre Gaza » en raison du conflit armé entre Israël et le Hezbollah. Il a souligné l’urgence d’obtenir un cessez-le-feu pour éviter une escalade encore plus grave dans la région.
L’Union européenne a également exprimé son inquiétude face à l’escalade des violences au Liban, appelant à un cessez-le-feu immédiat après les récentes attaques meurtrières. Le chef de la diplomatie de l’UE a souligné la nécessité de mettre fin aux hostilités le long de la frontière israélo-libanaise.
En parallèle, Israël a ordonné la fermeture du bureau d’Al Jazeera à Ramallah pour une durée de 45 jours, suscitant des tensions supplémentaires dans la région. Cette décision fait suite à une série de mesures prises par Israël à l’encontre de journalistes travaillant pour la chaîne qatarie.
Le Hamas a salué la bravoure du Hezbollah pour avoir continué à tirer des roquettes sur Israël malgré les attaques subies. Le mouvement palestinien a exprimé son soutien à la résistance libanaise et sa détermination à lutter aux côtés du peuple palestinien.
Le Hezbollah a annoncé une nouvelle phase dans sa bataille contre Israël, affirmant être prêt à tous les scénarios militaires pour défendre ses intérêts. Le mouvement islamiste libanais reste déterminé à affronter Israël malgré les pertes subies.
En réaction aux récents événements, le Premier ministre israélien a affirmé que son pays avait infligé au Hezbollah des coups inattendus, soulignant sa détermination à protéger les citoyens israéliens. Il a promis que les habitants du nord pourraient rentrer chez eux en toute sécurité malgré la menace persistante.
Afin de garantir la sécurité des citoyens, l’armée israélienne a ordonné la fermeture des écoles dans le nord du pays après les tirs de roquettes du Hezbollah. Cette mesure vise à protéger la population civile des attaques potentielles et à maintenir un niveau de sécurité adéquat dans la région.
Les tensions persistent entre Israël et le Hezbollah, avec des frappes continues de part et d’autre. L’armée israélienne a mené des frappes sur des cibles du Hezbollah au Liban en réponse aux tirs de roquettes, signalant une escalade des hostilités qui suscite des craintes d’une guerre totale au Moyen-Orient. La situation reste volatile et nécessite une action diplomatique urgente pour éviter une catastrophe imminente.